Dernièrement, avec un reste de poulet et de riz, j'ai concocté cette soupe, bien ordinaire pourtant, mais qui a eu l'heur de nous satisfaire pleinement par une belle journée d'hiver bien printanière.

Rendement : 4 portions

- 6 tasses de bouillon de poulet, de préférence maison;

- 2 petites carottes pelées et tranchées;

- 1 branche de céleri coupée dans le sens de la longueur et tranchée;

- 1 oignon de printemps ou oignon vert;

- 100 g de petits pois verts, frais ou surgelés;

- 2 ou 3 tasses de riz cuit;

- 1 demi-poitrine de poulet cuit;

- 1 c. à table de persil frais émincé;

- 1 c. à thé de poudre de cari;

- 1/2 c. à thé de poudre de curcuma;

- sel et poivre du moulin.

Verser le bouillon de poulet dans une grande casserole et ajouter les carottes, le céleri et l'oignon vert, ainsi que les poudres de cari et de curcuma. Porter à ébullition, partiellement couvert, durant 10 minutes.

Ajouter les pois verts, le riz et les morceaux de poulet et poursuivre la cuisson pendant encore 10 à 15 minutes ou jusqu'à ce que les légumes soient tendres.

Ajouter le persil et vérifier l'assaisonnement. Saler et poivrer au goût.

Verser la soupe dans des bols réchauffés et garnir d'un peu de persil.

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*Les Carnets de Miss Diane*

La  semaine dernière, j'ai servi ces lentilles aux petits légumes avec des saucisses de Toulouse. Mais, comme nous ne sommes que deux à la maison, il en est resté et j'ai l'habitude de les servir le lendemain midi en salade, agrémentées d'une giclée de jus de citron frais et d'une bonne huile d'olive. Pour faire changement cette fois, j'ai ajouté un oeuf mollet que l'homme a bien voulu faire cuire à sa façon et quelques mouillettes de pain. Voilà qui a complété notre dîner de ce dimanche midi.

Rendement : 2 portions

Pour les lentilles :

• 1 c. à soupe de gras de canard, ou du gras de son choix, beurre ou margarine
• 1 petit oignon ou une échalote, haché
• 1 branche de céleri et une carotte, le tout haché finement
• 1 1/2 tasse de lentilles, vertes ou brunes (250 g)
• 2 tasses de bouillon ou d'eau (500 ml)
• 1 c. à thé d'herbes de Provence, ici du Québec
• sel et poivre du moulin

Passer les lentilles sous l'eau, dans un tamis, afin de vérifer qu'elles ne contiennent pas quelques grains de blé ou petits cailloux, oui cela arrive parfois.

Préchauffer le four à 350 F ou 180 C.

À feu doux, faire fondre le gras de son choix dans une casserole à fond épais. Ajouter les petits légumes coupés en mirepoix et laisser mijoter, en remuant de temps en temps, sans laisser prendre couleur. Ajouter les lentilles rincées et bien remuer. Mouiller avec le bouillon ou l'eau et ajouter les herbes, le sel et le poivre. Porter à ébullition, couvrir et mettre au four. Cuire une vingtaine de minutes ou jusqu'à ce que tout le bouillon soit imbibé.

Déguster selon son choix et ranger ce qui reste au frigo après l'ajout du jus d'un demi citron et un peu d'huile d'olive. Au moment de servir ce reste en salade, préparer un oeuf mollet pour chaque personne et le dresser sur le plat. Saler et poivrer, ajouter un peu d'huile au besoin et se régaler.

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"Les Carnets de Miss Diane"

Janvier étant le mois de la soupe, j'ai eu envie de refaire celle-ci, étant un classique du Québec, la soupe aux pois à la Canadienne. J'avais l'habitude d'en faire lorsque nos enfants étaient jeunes et puis, sans que je ne sache trop pourquoi, je n'en ai plus refait depuis des lustres, du moins depuis la création de ce blogue. Mais quand j'ai vu que ma concitoyenne Anne de Québec en a fait une belle version, je me suis précipitée chez mon supermarché préféré et me suis procuré un sachet de pois secs jaunes et voilà le résultat. J'ai ajouté ici un reste de jambon mais cela n'est pas nécessaire.

Rendement : 6 à 8 portions

• 1 1/2 tasse de pois secs jaunes (300 g)
• 6 à 8 tasses d'eau (1,5 l à 2 l d'eau)
• 1 ou 2 c. à soupe de beurre ou de magarine, ici végan (sans gluten et sans lactose)
• 1 oignon + 1 carotte + 1 branche de céleri, le tout coupé en petits dés
• environ 1 tasse de jambon coupé en petits dés (facultatif)
• 2 morceaux de croûte de parmesan (j'en ai toujours au congélo)
• 6 à 8 tasses d'eau
• 1 ou 2 c. à thé d'herbes de Provence, au goût
• herbes salées du bas du fleuve, au goût (facultatif)
• poivre du moulin

Fraire tremper les pois dans l'eau durant au moins 4 heures. Au bout de ce temps, les égoutter et jeter l'eau de trempage.

Faire fondre le beurre ou la margarine et y faire tomber les petits légumes sur feu très doux, en remuant souvent. Lorsqu'ils sont très tendres, sans avoir pris couleur, environ 15 minutes, ajouter les pois égouttés et l'eau, ainsi que les croûtes de parmesan. Porter le tout à ébullition, réduire le feu à très, très bas, couvrir et cuire de 2 heures 1/2 à 3 heures. Au bout de 2 heures environ, vérifier le degré de cuisson des pois et ajouter les dés de jambon, et bien remuer. Remettre le couvercle et laisser mijoter jusqu'à ce que la soupe ait atteint la cuisson désirée.

Goûter la soupe avant d'ajouter les herbes salées, 1 c. à thé à la fois. Si on en a pas, saler, 1 c. à thé à la fois, en goûtant après chaque addition, et poivrer.

Au service, garnir de persil haché ou d'une petite branche de persil. Le reste peut être congelé 2 ou 3 mois.

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"Les Carnets de Miss Diane"

Malgré que nous aimons bien les pâtes, je n'avais encore jamais publié de recettes de gnocchis sur mon blogue. Cette fois encore, c'est sous l'influence de ma bonne amie Mamina que j'en ai fait la semaine dernière. Comme nous trouvons maintenant assez facilement des gnocchis sans gluten dans le commerce, j'en ai toujours sous la main car ils sont un bon dépanneur. J'avais aussi une belle boule de mozzarella sans lactose de la marque Tre Stelle, pas facile à trouver mais quand on en voit, il faut impérativement en acheter. Quant à la sauce tomate, j'utilise du coulis de tomate du commerce auquel j'ajoute un ou deux cubes de mon pistou maison, des épices étaliennes, du sel et du poivre. Voici donc ce plat dont nous nous sommes régalés dernièrement. 

Rendement : 2 ou 3 portions

• 1 paquet complet de gnocchis sans gluten de marque La Veneziane
• 1 1/3 tasse de coulis de tomate (300 ml) ici de marque Aurora
• 2 cubes de pistou surgelé, maison ou du commerce
• 1/2 c. à thé, ou plus, de sel assaisonné à l'italienne
• sel et poivre du moulin
• quelques tranches de fromage mozzarella, ici Tre Stelle sans lactose, ou au goût
• quelques feuilles de basilic frais

Préchauffer le four à 350 F ou 180 C et préparer un plat allant au four.

Cuire les gnocchis selon les instructions sur le paquet. Lorsque cuits, les égoutter et les déposer sur un papier essuie-tout.

Déposer le coulis de tomate dans une casserole sur feu doux avec le pistou. Remuer souvent pour faire fondre le pistou s'il est surgelé. 

Lorsque la sauce est bien chaude, y jeter les les gnocchis et remuer le tout. Répartir les gnocchis dans le plat réservé et déposer quelques tranches de mozzarella sur le tout. Enfourner environ 30 minutes.

Au sortir du four, répartir quelques feuilles de basilic sur le plat et servir.

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"Les Carnets de Miss Diane"

Il y a très longtemps, j'avais fait ce plat avec des pâtes de riz de style "pad thai" mais, cette fois, c'est avec des linguinis, sans gluten, de marque Catelli, que nous l'avons dégusté et ce fut absolument délicieux.

Rendement : 2 portions

• 170 g de linguini sans gluten, ici de marque Catelli

• 1 c. à table de margarine sans gluten et sans lactose (ou de beurre si on peut)

• 2 gousses d'ail émincées grossièrement

• 10 ou 12 grosses crevettes, pelées et déveinées

• poivre du moulin

• 1 c. à table de persil frais, haché

• zeste d'un demi citron

• le jus d'un citron

• quelques minces tranches de citron (oubliés sur la photo)

• flocons de piment fort ou d'Espelette

Cuire les pâtes dans une grande quantité d'eau salée, selon le mode d'emploi.

Dans un grand poêlon, faire fondre la margarine sur feu moyen-doux. Y faire sauter l'ail pendant environ 1 minute, en prenant soin qu'elle ne prenne pas couleur. Ajouter les crevettes, sel et poivre, et faire sauter jusqu'à ce qu'elles virent au rose, environ 5 minutes, en remuant souvent. Retirer la poêle du feu, ajouter le persil, le zeste, le jus et les tranches de citron ainsi que les flocons de piment. Remuer délicatement pour bien mélanger.

Quand les pâtes sont cuites, les égoutter et les déposer dans un plat de service. Incorporer les crevettes, mêler délicatement (attention, les pâtes sans gluten sont très fragiles!) et servir immédiatement. Précédé ou suivi d'une simple salade verte, ce repas est un vrai régal.

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"Les Carnets de Miss Diane"

Le potage Saint-Germain tire son nom du comte de Saint-Germain qui fut ministre de la guerre sous le règle du roi Louis XV ou XVI. Il raffolait en fait des pois frais de Poissy. Il fut aussi servi lors du dernier dîner sur le Titanic.  Voilà pour la petite histoire.

À mon avis, cette soupe est le potage printanier par excellence, de par sa couleur et les légumes qui le composent, étant parmi les premiers à se pointer au printemps. Pour ma part, je l'avais servi pour la première fois le 1er janvier 2001, alors que nous recevions nos parents et nos enfants. Je ne comprends donc pas comment il se fait que je n'avais jamais publié la recette. Pourquoi ne pas le servir à Pâques?

Rendement : 4 portions, à multiplier selon le nombre de convives

• 1 ou 2 échalotes françaises, émincées
• quelques tranches de poireau, pour le goût (facultatif)
• 1 c. à soupe de beurre ou de margarine sans gluten et sans lactose, ici Becel vegan
• 4 tasses de bouillon de poulet, réduit en sel, ici "maison" (1l)
• 1 pomme de terre moyenne, pelée et coupée en cubes
• 2 tasses de pois verts, frais ou surgelés
• 2 ou 3 tasses de feuilles de laitue, ici romaine, lavée et émincée grossièrement
• persil émincé
• herbes salées du bas du fleuve (facultatif)
• croûtons, au goût

Dans une grande casserole, attendrir l'échalote et les tranches de poireau (si on en met) dans le beurre. Ajouter les cubes de pomme de terre et arroser le tout avec le bouillon de poulet. Porter à ébullition et laisser mijoter environ 20 minutes, ou jusqu'à ce que la pomme de terre soit tendre.

Ajouter les petits pois et les feuilles de laitue et porter de nouveau à ébullition. Si on utilise une autre laitue, telle la Iceberg par exemple, le potage sera plus pâle. Laisser mijoter environ 2 minutes. Retirer la casserole du feu et ajouter un peu de persil avant de réduire la soupe en purée lisse, au blender ou à l'aide du pied mélangeur. On suggère parfois de la passer au tamis mais cela ne fut pas nécessaire cette fois-ci. Goûter avant d'ajouter les herbes salées du bas du fleuve (attention, c'est salé!) et redonner un dernier coup de mélangeur. 

Au service, garnir chaque bol de croûtons et de persil haché.

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**Les Carnets de Miss Diane** 

Ce poulet, inspiré d'une recette de Madame Ina Garten, est tendre et juteux, et délicieux à souhait. Il faut vraiment l'essayer. Madame Garten suggère de le cuire dans un poêlon en fonte de 12 po. de diamètre, ou 30 cm. J'ai donc utilisé ma braisière en fonte et ce fut parfait.

Rendement : 4 portions

• 1 poulet de 4 lbs ou 2 kg
• 2 c. à thé d'herbes de Provence
• 1 c. à thé de graines de fenouil entières
• sel et poivre du moulin
• 1/3 de tasse d'une bonne huile d'olive (83 ml)
• 1 citron coupé en 2 et tranché en rondelles d'1/4 po d'épaisseur (0,5 cm)
• 1 oignon jaune, coupé en 2 et tranché en rondelles d'1/4 po d'épaisseur (0,5 cm)
• 2 grosses gousses d'ail, tranchées finement
• 1/2 tasse de vin blanc sec, comme le Pinot Grigio (125 ml)
• jus de 1 citron

Préchauffer le four à 450 F ou 225 C.

Placer les herbes de Provence, les graines de fenouil, 1 c. à soupe de sel et 1 c. à thé de poivre dans un mini-robot ou un moulin à épices et actioner jusqu'à ce que le tout soit moulu. Verser l'huile dans une petite tasse à mesurer en verre, incorporer le mélange d'épices et réserver.

Préparer le poulet en crapaudine en le découpant le long de la colonne vertébrale, des deux côtés de celle-ci, de façon à l'enlever complètement. Retourner le poulet et l'écraser légèrement, ce que j'ai oublié de faire! Mettre la bête de côté.

Répartir les tranches de citron dans le poêlon et étaler l'oignon et l'ail sur le dessus. Placer le poulet, côté peau vers le bas, sur l'oignon et le badigeonner d'environ la moitié du mélange huile et herbes. Retourner le poulet, le sécher avec du papier abdorbant et le badigeonner avec le reste du mélange d'huile et d'herbes.

Enfourner et rôtir le poulet pendant 30 minutes. Verser le vin dans le poêlon, autour du poulet et non dessus, et remettre au four encore 10 à 15 minutes, jusqu'à ce qu'un thermomètre à viande inséré dans la partie la plus épaisse de la poitrine enregistre plus de 165 degrés F. J'aime bien que la viande se détache des os facilement.

Retirer le poulet du four, verser le jus d'un citron frais sur le poulet, couvrir hermétiquement à l'aide d'un papier aluminium ou du couvercle de la braisière, et laisser reposer de 10 à 15 minutes. Pour servir, couper le poulet en quartiers, saupoudrer de sel (si désiré) et servir chaud avec le jus de la poêle, le citron cuit et l'oignon.

Ici nous l'avons dégusté avec une purée de pommes de terre et un légume vert, accompagné d'un verre de Pinot Grigio. 

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**Les Carnets de Miss Diane** 

Le dessert québécois connu sous le nom de « pouding chômeur » est un mets délicieusement riche et étonnamment simple. C’est une bonne dose de pâte cuite au four dans un fond de caramel. Le pouding chômeur naît vraisemblablement des suites du krach économique de 1929, puisqu’on n’en trouve aucune mention avant les années 30. Selon une légende, il serait la création de Georgianna Falardeau, épouse de Camillien Houde, alors maire de Montréal. Aujourd'hui, le pouding chômeur comprend plusieurs variantes, la plus populaire étant celle au sirop d'érable, qui consiste à remplacer la cassonade, en tout ou en partie, par du sirop d'érable. Il y aurait aussi deux façons d'introduire le sirop, celle-ci étant comme le faisaient nos mères, soit de le verser délicatement sur la pâte avant la cuisson, et l'autre étant de mettre le sirop au fond du moule et de verser la pâte sur le dessus. Je préconise la première car le gâteau, en levant, s'imprègne du sirop alors que la sauce épaissit au contact de la farine, rendant le tout bien gourmand.

Voici donc la version de l'Homme car c'est bel et bien lui qui a fait celle-ci alors qu'il avait une rage de sucre. Car, il faut bien le dire, c'est un dessert délicieux mais aussi très sucré. Mais comme on a l'habitude de dire, une fois n'est pas coutume!

Rendement : un plat à soufflé d'environ 8,5 po ou 22 cm de diamètre ou un plat en pyrex rectangulaire d'environ 9 x 13 ou 23cm X 33 cm.

Pour le gâteau : 

• 1 tasse 1/2 de farine sans gluten, ici mélange de farine Robin Hood (225 g)
• 1 c. à thé de poudre à pâte ou levure chimique, sans gluten
• 1/4 tasse de beurre ou de margarine végétale, ici Bécel sans gluten et sans lactose (110 g)
• 2/3 tasse de sucre blanc (65 g)
• 1 oeuf, ici gros
• 1 c. à thé d'extrait de vanille
• 1/2 tasse de lait sans lactose ou végétal, ici soya original (125 ml)

Pour la sauce :

• 1 tasse de sirop d'érable (250 ml)
• 1 tasse de cassonade (200 g)
• 1 tasse d'eau bouillante (250 ml)
• 1/4 tasse de beurre ou margarine végétale (110 g)

Préchauffer le four à 325 F ou 162 C et préparer un plat en pyrex (ici un plat à soufflé) en le beurrant bien, ici de margarine.

Mélanger la farine et la poudre à pâte à l'aide d'un fouet afin de l'alléger.

Dans le bol du mélangeur sur socle, battre le beurre ou la margarine en crème en ajoutant le sucre graduellement. Ajouter l'oeuf et la vanille, puis le lait, 1/4 de tasse à la fois, en mélangeant bien jusqu'à ce que tout soit bien mélangé. Ajouter les ingrédients secs et bien mélanger.

Verser le mélange dans le plat préparé et mettre de côté.

Mélanger tous les ingrédients du sirop dans un récipient et porter à ébullition. Laisser réduire environ 10 minutes et verser délicatement sur le gâteau. Enfourner et cuire pendant 45 minutes.

Ce gâteau peut se congeler et il devrait faire le bonheur de tous à Pâques.

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Ce gâteau aux noix serait une recette de Cyril Lignac et, après l'avoir vu sur différents blogues, et comme j'adore les noix, j'ai décidé d'en faire une version sans gluten et sans lactose. Inutile de dire qu'il nous a bien régalés au retour de notre petite marche, accompagné d'une bonne tasse de thé.

Rendement : un gâteau rond de 8 po de diamètre ou 20 cm

• 100 g de margarine vegan, sans gluten et sans lactose (ou de beurre)
• 120 g de cerneaux de noix, concassés grossièrement
• 3 gros oeufs
• 125 g de farine sans gluten, mélange maison ou du commerce
• 2 c. à thé de poudre à pâte ou levure chimique, sans gluten
• 110 g de sucre
• 2 c. à thé de sucre vanillé, ici fait maison

Préchauffer le four à 350 F ou 180 C et préparer un moule rond en l'enduisant légèrement de margarine et en tapissant le fond d'un papier parchemin.

Dans un bol, verser la farine et la poudre à pâte et, à l'aide d'un fouet à main, bien aérer le mélange. Réserver.

Battre au mélangeur la margarine et les sucres jusqu'à l'obtention d'un mélange crémeux. Ajouter les oeufs, un à la fois. Puis réduire la vitesse du mélangeur et ajouter la farine. Retirer le bol de son socle et ajouter les noix. Incorporer à l'aide d'une spatule puis verser le mélange dans le moule déjà préparé. 

Enfourner et cuire environ 35 ou 40 minutes. Vérifier la cuisson à l'aide d'un cure-dent. Retirer du four lorsque le gâteau est cuit et attendre avant de démouler.

Servir légèrement saupoudré de sucre à glacer et accompagner de crème glacée à la vanille, si désiré.

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**Les Carnets de Miss Diane**

Je me suis largement inspirée de la belle Anne du blogue Papilles & Pupilles pour utiliser cette belle grosse courgette que je m'étais procuré à grand frais dans le but de varier un peu notre consommation de légumes. J'en ai aussi profité pour agrémenter ce velouté des herbes salées du Bas-du-Fleuve, produit québécois par excellence. J'ai aussi utilisé de l'huile de truffes que nous avions rapportée d'Italie, ce qui a donné beaucoup de goût à cette soupe dans laquelle j'avais mis de l'eau plutôt que du bouillon.

Rendement : 6 portions

• huile d'olive
• 1 grosse courgette ou 2 moyennes
• 2 pommes de terre de bonne grosseur
• 1 oignon jaune
• 4 tasses d'eau chaude (1 l)
• 1 ou 2 c. à thé d'herbes salées du Bas-du-Fleuve
• poivre du moulin
• persil plat
• huile de truffes ou d'olive

Peler et couper grossièrement l'oignon et réserver. Laver les courgettes et en couper les deux bouts. Inutile de les peler avant de les couper en gros morceaux. Peler les pommes de terre et les couper aussi en gros dés. 

Faire dorer l'oignon dans l'huile d'olive jusqu'à ce qu'il soit attendri. Ajouter les morceaux de courgettes et de pommes de terre et remuer de façon à bien les enduire d'huile. Verser l'eau légèrement réchauffée. Ajouter les herbes salées et poivrer. Inutile de saler puisque les herbes le sont déjà. Porter à ébullition puis réduire le feu de façon à obtenir un léger frémissement.

Lorsque les légumes sont cuits, environ une vingtaine de minutes, retirer du feu et ajouter le persil et passer au pied mélangeur. Servir dans des bols et verser un peu d'huile de truffes ou, à défaut, d'olive. 

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